Ce visuel nous informe sur les impacts environnementaux (consommation d’énergie, d’eau, émissions de CO2…) de nos habitudes quotidiennes en tant que salarié :
Chacun de ces points fait l’objet de plusieurs propositions concrètes pour faire évoluer ses pratiques.
Ce document rassemble les expériences développées dans le cadre du Programme National de Synergies Inter-Entreprises (PNSI) au sein de 4 régions : Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Normandie et Nouvelle Aquitaine.
Les 10 expériences sont les suivantes :
Chacune de ces expériences est décrite dans les moyens (humains, techniques et financiers) mis en œuvre, les résultats quantitatifs et qualitatifs, les difficultés rencontrées, le temps de retour sur investissement.
Ce numéro thématique présente un ensemble de solutions pour les collectivités pour réduire, recycler, éduquer ; au sommaire :
De nombreux secteurs d’activité de l’économie circulaire sont en forte expansion : la gestion et le traitement des déchets, les plastiques, les déchets inertes du BTP, l’industrie, les biodéchets, l’agriculture et les circuits courts alimentaires…
Ces secteurs constituent de réelles opportunités de développement de nouvelles activités pour les entreprises de l’économie sociale et solidaire.
Les leviers sont multiples : les achats publics durables, la participation du consommateur, les partenariats avec les entreprises ou avec les collectivités.
Pour finir, quelques initiatives remarquables de la Région Auvergne-Rhône-Alpes sont présentées : ferme urbaine, rénovation de produits, recyclage de plastiques.
La commande publique représente un poids économique important, laissant imaginer le potentiel d’entraînement de son évolution vers l’économie circulaire, et son caractère exemplaire.
Ce cahier technique synthétise les apports d’experts et les retours d’expériences issus d’un atelier régional en juillet 2017, inscrit dans un cycle « Economie circulaire et territoires ».
Il aborde dans un premier temps les raisons de s’engager dans une commande publique circulaire, entre enjeux européens et impacts sur le territoire.
Sont ensuite présentés les leviers juridiques offerts aux directions achats des collectivités territoriales. Et pour finir, il propose des modalités de mise en œuvre de cette commande publique, du portage politique à la mobilisation des outils appropriés, en passant par l’organisation interne.
Après avoir rappelé les définitions des termes « réemploi » et « réutilisation », ce document dresse une typologie actualisée des biens de consommation courante susceptibles de faire l’objet d’un marché de l’occasion.
Il analyse ensuite les évolutions de ce secteur et ses différentes catégories d’acteurs : acteurs de l’ESS et associations caritatives, dépôts-ventes/brocanteurs, sites internet, intermédiaires et reconditionneurs.
Les circuits et étapes de la 2ème vie des produits sont ensuite détaillés par catégorie : biens de consommation courante, pièces détachées des moyens de transport motorisés, pneumatiques, produits et matériaux de construction, emballages, cartouches d’impression bureautique. A partir des freins identifiés, des recommandations sont formulées pour favoriser le développement des activités de réemploi et réutilisation.
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Ce panorama est également complété d’une autre étude : « Analyse technico-économique de structures de réemploi et/ou de réutilisation en France », paru en octobre 2017